Parler de SOI n'est pas facile.
Même à notre époque, avec l'influence des réseaux sociaux qui nous poussent à nous dévoiler, cela reste pour certains un exercice difficile. Et même si cela paraît facile de se prendre en selfie pour les plus jeunes. Certains préfère encore garder en eux, une forme de jardin secret.
Pourtant se présenter semble évident et meme indispensable aux regards de la société actuelle.
On pense souvent et à tord que parler de soi, c'est surtout répondre aux questions que se pose notre interlocuteur.
• Quel est ton nom ?
• D'ou viens tu ?
• Que fais tu dans la vie ?
Sommes de questions qui finalement ne parle pas de nous, mais nous définissent seulement au regard de ce que notre intelocuteur veux savoir de nous. Une somme de question qui nous permet certes d'engager la conversation, mais pas vraiment de parler de nous. Ou plutôt de nous dévoiler à l'autre.
Et, d'ailleurs pour répondre à ces simples questions... Possible que Google soit mieux informé que vous !
• Qui n'a jamais tenté l'expérience d'inscrire son nom et prénom dans la case des recherches Google ?
PARLER DE SOI C'EST SE SOUCIER DE L'AUTRE.
Patricia Delahaie, psychologue et auteure de livre sur le sujet explique :
"Parler de Soi, c'est d'abord s' adapter à son interlocuteur. Puis savoir l'écouter en retour."
PARLER DE SOI, C'EST SE CONNAITRE
Alors, si pour vous, comme pour moi, se présenter ressemble à une véritable épreuve ... en prendre conscience c'est déjà parcourir une bonne partie du chemin. Car, entre honte, timidité, vulnérabilité, sentimentalisme, parler de soi c'est sortir de sa zone de confort. S' exposer à l'autre représente une prise de risque émotionnel.
Pourtant, avant de patler de soi. Prendre le temos de s'auto-interroger et aussi fondamental sur le plan professionnel, que sur le plan personnel, voir mêmesur un plan plus intimiste.
L'ART D'ETRE DIFFÈRENT
On m'a souvent dit que j'étais bizarre et j'avoue que pour bien du monde, je le suis. Mais, cela ne m'a jamais déranger. Enfin cela ne m'a pas toujours aidé. Mais, j'ai appris de bonne heure à me servir de cette "ambivalence" et de mon esprit atypique. Et, malgré les profonds moments de solitude qui m'attirent dans un monde que personne ne comprend, je suis fière de ma singularité.
Après tout, le dikta du "comme tout le monde" n'est pas pour moi. Moi, je ne suis ni mouton, ni berger.
SAVOIR RECONNAITRE SES FAIBLESSES
Parler de soi, c'est autant savoir se mettre en valeur, que savoir analyser nos axes de progressions. Nos petits défauts qui exaspère parfois notre interlocuteur. Savoir parler de sa passion, mais sans en faire trop pour ne pas "saouler"notre interlocuteur. Et, ne pas en dire trop permet à l'autre de nous poser des questions. Mais aussi, d'instaurer un climat de confiance.
• Mais quoi mettre en avant ?
• Comment garder une part de mystère, sans brouiller le mystère ?
• Comment intriguer l'autre, pour nous donner l'envie de nous connaitre plus ?
Selon une étude de l'université d'Havard menée en 2012. Raconter sa vie serait une immense source de plaisir.
Autant que la nourriture et le sexe 😊
Bon, sur @Steemit on n'a pas encore récupéré tous les Facebookiens, mais sur ... y en a qui vont se reconnaître.
Effectivement si notre cerveau libère autant de dopamine quand nous parlons de nous, que quand nous faisons l'amour ... On comprend l'émergence et le succès des réseaux sociaux.
Bon allé 😆 je veux pas jouer les rabajoies, mais moi dans tous cela... j'ai réussi à faire un article qui parle de moi ... mais surtout, qui préserve le mystère. Alors, pour la version 4.0 de moi, va falloir attendre demain.
Afin que je puisse déterminer à qui je souhaite m'adresser. Car avant de parler de soi, il est important de savoir à qui on souhaite s'adresser.
Sur ce, je vous laisse et je vous dit a demain les z'amis steemitiens.
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