Tout nos hiers accumulent
D’ou demain étend sa main
Portant à coeur une nuit blanche
Saisi en comptant jusqu’à vingt
Les étoiles dans une brume dissipent
Le soleil au travers revient
Ombrage frissonne qui anticipe
Atteindre le compte de vingt
La forêt sans nous murmure
Les prés sont toujours plus lointains
Un écho enchantant qui endure
Jusqu’au compte de vingt
Deux sentiers ce faufilent et ce croisent
Dessinant leur propres destins
Puis cette plume asséchera
Écrivant une dernière fois vingt
Les câlins durant comme mentionné dans ce poème font baigné le cerveaux dans l'oxytocin, qui aide au rapprochement. Il y en a plus sur l'oxytocin, sujet fascinant à suivre.