On s’est rendu compte qu’il fallait un aménagement important dans l’arrêté pour permettre aux acteurs économiques d’avoir plus de marge de manœuvre… », a-t-il précisé dans cette interview accordée au Nouvelliste.
Le conseiller spécial de Jovenel Moïse n’a pas non plus voulu admettre que le gouvernement avait erré en prenant l’arrêté du 1er mars dernier. « …on a essayé d’appliquer la loi, parce que la Constitution stipule que la monnaie en circulation dans le pays c’est la gourde