Le détail du RBI 2/2

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Suite de article 1/2 le détail RBI


Création de valeur

Imaginez un cercle qui est la création de valeur dans une économie nationale. Plus la valeur est productive, plus le cercle grandit. Par création de valeur on entend par tous les bien et service produit et vendu dans le pays pendant 1 année. Cette création de valeur contient une partie publique, (état) et une partie privée. Une partie part dans nos impôt et prélèvement obligatoire. De cette manière nous payons les services écoles, polices, prestations sociales et ainsi tous les emplois assurés par l'Etat. En Suisse le côte part de l'Etat en 2005 était de 36%.
Pour le RBI, par tous les salaires versé par l'Etat serait une autre manière de verser l'argent, car l'Etat obtiendrait déjà les revenus par l'intermédiaire de l'impôt. Tout comme aujourd'hui c'est comme ça que ça fonctionne. Pour tous ces revenus, le RBI serait qu'un changement de faire une autre comptabilité. Pour les privés, l'argent du RBI ne serait pas encore revenu dans l'Etat. Il faut qu'il arrive d'abord par voie fiscale.
Cela engendrait encore plus d'Etat ?
Non, cela signifie moins d'Etat, moins d'acquisitions, moins de mise sous tutelle et moins d'administrations. L'Etat jouerait que le rôle d'intermédiaire, de fiduciaire et au garant de droit au RBI.
Mais, les impôts vont augmenter ?
De quel impôt pourrait-il s'agir... A priori ce serait plus simple de prendre plus d'argent à ceux qui en gagnent plus, au riche. Donc, par l'impôt sur le revenu.
Pour une entreprise, c'est le coût de la vente que l'entreprise doit couvrir. Sans quoi il n'aurait plus d'entreprise. En principe il existe 3 type d'impôt ; la TVA payé directement par le consommateur, les charges salariales et l'impôt sur le revenu.
La TVA ne se percute pas dans le bilan de l'entreprise. La charge salariale c'est le patron et l'employé qui paient chacun leur part. Et, l'impôt sur les revenu est directement lié aux prix de vente.
Exemple :
Le café coût 5.- ou 5 € peut importe...
1/4 de prix sert à couvrir les frais infrastructures. Le autre 1/4 sert à payer la marchandise. La plus grande partie de prix sert à payer les salaires, les service et la gestion. Puis, s'ajoute la TVA, (7,6% en Suisse).
Si le café tombe du plateau avant d'arriver au client, cela est fini la création de valeur.
L'impôt invisibles dans la part du salaire, (par rapport au partage du prix du café) sont les charges salariales, l'impôt sur le revenu et les charges sociales. Dans le coût de marchandise y a également des impôts invisibles, car y a aussi des salaires, (comme celui qui a cultiver le café). Il en va de même pour les infrastructures, c'est toujours le consommateur qui paie. Car, c'est avec l'argent qu'il dépense, que tout le reste doit être payé. Y compris l'impôt. Si tout les impôts étaient réuni sur une seule somme invisible, cela représente pratiquement la moitié du prix de votre café. Et, ainsi l'impôt ne récoltera pas au début, mais quand tout est fini et mûre. Ainsi, toute personne serait égaux. Le travail au noir n'existerait plus, si l'impôt est prélevé sur la TVA. Car, il n'aurait plus d'impôt prélevé sur le travail, avec le RBI. En revanche, la vente au noir serait une très grande tentation. L'administration diminuerait, temps que l'administration privée aussi et serait remplacé par des contrôleurs de tricheries. L'impôt qu'on ne peut pas y échapper, c'est la taxe sur la valeur ajouté. Elle est payé là où le consommateur dépense son argent. Cette impôt n'est pas payé par celui qui apporte le café, mais par celui qui le consomme. L'impôt sur le revenu en revanche, fait comme si le revenu est le produit de mon travail. Parce que c'est ce que je ramène à la maison.
L'impôt sur le revenu est l'impôt sur l'économie de subsistance. Mais, il pose problème à l'économie du marché ; il n'y a plus de retraité, plus de chômeur. Aucun problème sur l'impôt publique, avec l'impôt sur la consommation. C'est aux machines ou robots qui n'a pas d'impôt et donc n'amène pas un RBI. En ce moment, c'est plus d'impôt sur le travail. Mais, après quand y aura plus de machines et de robots, y aura moins d'impôt prélevé sur le revenu du travail. Mais, en contre partie les robots ou les machines ne perçoivent pas de salaire, non plus. Comme, le coiffeur et la machine à lavé. Par contre, si on considère la création de valeur à chaque produit sans la prise d'impôt et qu'on impose chaque produit aux même taux de TVA, alors le produit du coiffeur coûtera moins et la machine d'avantage, (la machine à lavé par exemple). Le travail humain et le travail de la machine serait imposé de la même manière, car l'impôt serait le résultat de la création de la valeur. La machine ne déchargerait plus seulement le travail de l'humain, mais également une partie de l'impôt. Enfin, si la coupe de cheveux ne diminuait pas, les recettes fiscale augmenteraient considérablement. L'impôt sur la consommation serait prélevé sur toutes les importations destinées à la vente. La production du pays serait imposé de la même manière. L'impôt sur la consommation ne serait pas un bien d'exportation. Le produit qui qui franchie la frontière n'importe pas la charge fiscale avec lui. L'impôt sur la consommation serait la seule impôt équitable dans la globalisation.

Le constat est claire ; L'impôt sur les revenus agit constamment comme un frein, alors que l'impôt sur la consommation soutient le développement de toutes les prestations. L'impôt sur les dépenses permet à chacun de se poser la question de la direction qu'il désir prendre dans sa vie.

La TVA comme impôt unique, se serait la méthode la plus simple. Elle dispense de toutes les déclarations d'impôt. Mais, si la TVA reste le seul impôt, que serait-il du planché de taxation d'impôt ? Car, le planché de taxation et le composant social est le calcul de l'impôt. Avec la TVA, l'impôt serait le même pour les pauvres et pour les riches. Qu'allons-nous faire du composant social ? Alors, on fait comme ça ; - On restitue la TVA au gens un montant à leur besoin de base.
Le revenu de base c'est la restitution de la TVA pour le besoin de base, en temps que planché de taxation.
Exemple calcul :
Le RBI est de 1000.- CHF et donc 1000.- revenu.
L'un travail à 1000.- CHF/mois il a donc 3500.- revenu. Et, en suite suite pour ceux qui gagne plus ont donc un revenu plus haut...
Si l'imposition du travail disparaît et si tout l'impôt est prélevé par la TVA, sur le résultat de la création de la valeur ; le taux de celle si sera de 100%. La moitié du prix à la consommation ira alors au fisc. Votre café à 5.- fera 2.50.- pour l'impôt.
Ainsi, dans le calcul celui qui dépense 1000.- dépense 500.- d'impôt. Mais, puisqu'il a reçu 1000.- de RBI en réalité il paie -500.-. Plus exactement il touche 500.- d'administration fiscale.
De même sur une dépense de 1500.- par un autre, la moitié au fisc donc 750.- va au fisc. Sur 1000.- de RBI cela lui fait 250.- qu'il touche de l'administration fiscale. Celui qui est à 2000.- n'a donc ni payé et ni reçu du fisc, (à l'équilibre de 1000.- RBI). En réalité, c'est que à la dépense supérieure au double de RBI, que le consommateur est imposé. Ainsi, pour une consommation de 3000.- contiendra 500.- d'impôt. Autrement dit, si on tient compte du RBI le planché de taxation réel ce situe à 2000.- de revenu consommé. A partir de ce niveau le taux de l'imposition sur ce revenu est progressif. Pour 3000.- de consommation est de 17% et cela monte jusqu'à 50% au total sur les revenus consommés plus en plus élevé.
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Avec le RBI la progressivité sociale du taux de l'imposition de la TVA serait assurée et surtout efficace.

L'impôt sur le revenu serait plus que la poudre au yeux. Il nous dispense de regarder de plus près.
Revenant à l'exemple du café, le salaire représente la moitié du prix plus au moins. Avec le RBI il ne compterait plus que pour 1/4 plus au moins. Celle de moitié représente une pression sur les coûts du café et on licencie aussi plus vite. On intensifie le travail à la limite du supportable et y a pas de marge pour essayer autre chose.
Celui qui est au 1/4 aura moins de stress, plus de marge de mains d'oeuvres au fluctuation, voir même engager un employé de plus. C'est ainsi que la TVA exerce sur l'activité du travail. Une partie de RBI serait déjà couverte par le revenu existant. L'autre partie comme nous l'avons vu, certe qui fait augmenter l'impôt, mais qui revient à chacun un RBI. Y compris à ceux qui revient au amont de la formation du produit, comme la production à bien intermédiaire ou de travaux d'infrastructure. L'impôt frappe que le produit fini, l'hors que celui ci est dans les mains du consommateur.
Cela se traduit que le tiers du prix du café revient à la création de la valeur, donc aux salaires, frais d'infrastructures et frais de marchandises. Le 2e/3 le RBI et le 3e/3 va à l'administration des biens publics. Le tiers de revenu. Les frais salariale reviendrait plus à la moitié des coûts du café, mais le 1/6 environ. Et, le prix du café est resté le même. Le revenu de base (RBI) resterait le même. Car, le revenu de base remplacerait une partie de revenu du travail. Ainsi le revenu de base crée une nouvelle force de négociation du salaire. Si le travail procure par exemple qu'un peu de pouvoir d'achat supplémentaire, peut-être que il préférerait rester à la maison ou s'occuper des enfants, (qui d'ailleurs ont aussi un RBI). Et, ainsi sa laisserait de la place à ceux qui ne peuvent percevoir de RBI selon la politique du droit, (aux réfugier climatique/économique par exemple).
Avec le RBI sur le licenciement on pourra le parler haut et fort et pourra peut-être développer quelque chose de personnel. Plutôt convaincu avec des projets que par des revenus.
Le RBI donne plus de poids à une réel collaboration. Peut-être que l'employeur devra payer un peu plus, pour motiver. La culture d'entreprise changera beaucoup. Le RBI amène plus d'égalité à la famille et plus de chance dans le marché du travail.

A côté de la création de la valeur mesurable de l'argent, y a une autre création de valeur qu'on ne peut pas comptabiliser. C'est donc, la création de valeur ; bénévole, sociale, culturelle ou humaine. Avec le RBI, cette création non rémunéré prendrait de l'ampleur. Par exemple, dans la santé sur les soins dévoués, d'activité spirituelle, du temps consacré aux autres, une formation qui valorise, une recherche libérée dans le domaine de la vie et une liberté de créations d'entreprises.

Le RBI nous laisserait le temps à se questionner le sens de la vie !

C'est possible que l'activité de création de valeur marchande serait diminué, si par exemple on décide de travailler que 3 jours par semaine. Pour se consacrer du temps à une grand mère qui elle touche aussi un RBI ou pur créer autre chose et bénéfique pour l'avenir. Avec l'automatisation d'aujourd'hui cela ne réduirait pas à la production. Sur une population plus saine, plus sereine, plus sûr d'elle et plus imaginative ; bien des choses en trouverait de nouvelles valeurs. La dynamique économique reviendrait renforcé. Ainsi, la création mesurable de la valeur de l'argent.

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Pourquoi nous n'avons pas encore de RBI ?

Tout est orienté, les entreprises et les écoles à la société du travail. Nous ne pouvons renoncer à cette orientation. Au fond il s'agit d'un symptôme, s'accrocher de vieille conception à de nouvelles situations comme nous le vivons actuellement. Et, symptomatique que les vieilles conceptions nous on déjà lâché. Nous sommes ainsi désorienté sur une explication d'un nouveau système, telle que ci-dessus.
Il ne s'agit pas de faire continuer le système actuel, mais d'envisager des alternative, des idées nouvelles concrètes et visibles. Un RBI n'est pas une assistance, c'est un droit civile. C'est le droit de chaque personne de profiter du bien-être de la nation. Cela impliquerait une sortie des pauvreté aussi, dans les pays à grande difficulté économique. Dans le sujet du RBI on a parlé de la réduction de dette, voir la supprimer totalement. Avec le RBI on peut supposer de supporter l'hyper inflation des prix, où la monnaie perd son pouvoir de valeur, (comme s'est passé en Vénézuela où 1000.- de billet par exemple représente un achat d'un stylo seulement et donc que le billet ne représente plus rien).

L'hors de calcul de base, il ne faut pas calculer les prestations fourni. Mais, par le RBI nous rendons possible la contribution de chacun à la société. Le travail que vous ou que d'autres exécute n'a pas de prix, mais votre revenu le rend possible.
Dans le premier article avec l'affiche des opposants perçu d'un homme sale, c'est vu d'une manière qu'on ne peut pas faire confiance à l'individu. Y a aussi l'effet pervers où les plus âgées qui ont tout donné refuseraient ce genre de revenu à tout donner aux indisciplinés. Mais, puisque c'est pas très chic de dire de cette manière, on dira : Comment pouvons nous les financer ?

Mais alors, à ces opposants qui n'ont pas bien compris l'enjeu du RBI, qui n'ont pas confiance à l'humain et à ces personnes qui ont de la peine à faire changer un système où eux même ils ont tout donné. Si eux changent de comportement ce ne serait pas seulement à leur revenu que cela changerai, mais à leur santé mental.

Merci de m'avoir lu si long, je vous laisse décortiquer et voir plus loin encore des détailles à peaufiner, à d'autres sujets que je n'aurais pas peaufiné en détail ici. Enfin, pour la création d'un tel système possible pour votre pays, par exemple, il faudra toute manière être l'acteur et non plus spectateur.

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