LA NEIRE A PARIS UNE POÉSIE

Neige blanche, neige blanche,
comment tu admires où il pleut seulement!
Malheur à l'âme! Quand votre
petites boissons blanches et minuscules
lentement mais sûrement,
rythme bas ou accéléré,
du ciel qui tombe sont
et sur terre ils sont déposés,
former une couverture blanche
où les plantes humbles sont chéries,
le plus faible et le plus petit,
du coup d'hiver froid
qui constipe et garrote.

Or blanc que l'hiver apporte
comme une réserve de vie plus tard,
et que dans le futur printemps
comme le sang coulera à travers les collines,
ravins et torrenteras,
canalisé dans les artères ciselées
pour le passage du temps,
pour arriver à votre dernier repos
et comme l'eau finit;
étant l'élixir liquide qui
la vie fait couler
dans toutes les sources,
de l'une à l'autre frontière.

Crème blanche et glissante,
cela cause tellement de problèmes
à tous les passants,
qui parcourent les villes
enveloppé dans leurs manteaux,
entre les bordereaux, éternuer
et des traces partout.

Quelle récompense et belle
c'est de voir ces fous,
avec ses mains gantées
et ses petites bottes,
faire des petites boules cool,
de quelque chose qu'ils ne savent pas ce que c'est,
mais si vous le jetez très rapidement
à l'impact, ils provoquent le rire,
et s'ils prennent un peu
dans sa main il fond et
comme de petites gouttelettes
entre vos doigts comme des glissades d'eau,
jusqu'à ce que vous atteigniez l'endroit où vous êtes reparti,
quand l'enfant était comme une balle, cette neige s'est levée.

Combien de souvenirs nous apportent-ils?
à ces flotteurs hogaño
nous avons tellement d'années maintenant!
et quand on frappe cette mousse blanche
des souvenirs que nous remplissons,
et nous volons vers le passé pour
Avec tristesse rappelez-vous que la neige vierge,
que dans la tête de nos enfants
comme des papillons perchés,
jouer avec des cheveux
qui a commencé à faire des vagues,
Je pense juste à voir la mer
à l'intérieur d'une coquille de conque;
et par rapport à cela
qui aujourd'hui n'est plus une fête,
ça nous rebondit, ça nous dérange
nos têtes dépeuplées
et les cheveux vides,
peu à peu ils partent
entrevoir nos crânes osseux,
comme un exemple de cela de la mer
Charon arrivera un jour.

avec sa caravelle noire