Comme vous l'avez peut-être remarqué, j'étais absent de Steemit ces six derniers jours. Je voulais absolument poster, je vous jure, mais il y avait juste un tout petit problème : je n'avais plus de connection ni de télédistribution. Un tracteur a en effet eu la bonne idée de défoncer la borne qui nous donnait accès à Voo, et connaissant le temps de réaction de Voo, on s'est retrouvé à attendre six jours (et quatre appels) avant qu'un mécanicien ne vienne s'occuper de notre cas. Je vous entends déjà dire que j'aurais pu utiliser ma 4G pour poster et interagir mais... j'avais déjà tout utilisé avant cette coupure (oups). Donc oui, ce post est très en retard et j'en suis désolé, je ne pouvais pas vraiment faire autrement. C'est tout pour cette interruption, place au post !

Enfin, je peux parler de n'importe quel jeu sans m'inquiéter de son prix. Ne vous y méprenez pas, j'ai adoré parler de jeux gratuits pendant ces trois semaines, mais fort est de constater que je me suis plutôt ennuyé en écrivant le dernier post sur ce thème. Aujourd'hui, comme promis, nous allons parler de jeux sans thème particulier les liant les uns aux autres, même si le hasard a fait que la plupart d'entre eux sont des jeux de plateforme. Le hasard ? Pas forcément en fait, il se trouve que c'est mon style de jeu préféré, suivi de loin par les jeux en vue première personne. Vous connaissez déjà la chanson si vous suivez mes posts, cinq jeux que je trouve incroyables et auxquels j'ai déjà joué, c'est parti !

Je suis un grand fan de jeux de rythme, non pas ceux qui demandent de jouer un certain instrument mais des jeux comme Bit.Trip Runner, Audiosurf ou Crypt of the NecroDancer (que je n'ai pas encore testé par contre). Des jeux qui essaient d'innover dans le genre des jeux de rythme, et ce jeu en fait définitivement partie. Les graphismes sont très minimalistes et parfois même moches mais une fois que vous passez par dessus cet aspect du jeu, vous vous retrouvez avec un des très bons jeux dans son genre. Chaque niveau commence en noir et blanc, sans musique importante, jusqu'à ce que vous trouviez une boule de couleur qui transforme le niveau en le colorant et en faisant bouger les divers éléments avec un nouveau beat. Ce n'est pas très difficile mais la réelle difficulté arrivera si vous voulez terminer le mode "aucune mort" se débloquant après avoir terminé le jeu une première fois.

DLC Quest est un grand doigt d'honneur à tous ces jeux abusant du marché des contenus téléchargeables en sortant beaucoup trop de DLCs inutiles (je pense à toi Payday 2 !). Vous commencez la partie en ne pouvant qu'aller vers la droite et collecter des pièces sur votre chemin. Si vous voulez aller vers la gauche et sauter, vous allez devoir payer avec les pièces que vous venez de collecter ! Quoi ? Vous voulez un menu de pause ? J'imagine qu'il va falloir payer pour ça aussi ! Presque tout ce qui se trouve dans ce jeu va devoir être payé sous forme de DLC si vous voulez terminer le jeu. Il n'y a aucune rejouabilité possible (sauf si vous voulez vous frotter aux défis speedrun) mais le jeu est bien pensé, vous forçant à retourner sur vos pas lorsque vous obtenez le DLC nécessaire pour passer un certain obstacle.

Ça fait pas mal de temps que j'ai joué à ce jeu mais je m'en rappelle clairement comme l'un des meilleurs shoot'em up auxquels j'ai eu l'occasion de jouer. Pour finir chaque niveau, trois actions vous sont proposées. La première étant un tir classique, la seconde un tir plus puissant mais qu'il faut charger et la dernière étant le vaunt, ce qui vous donnera une protection temporaire en plasma, un multiplicateur de score et une meilleure puissance de tir. Plusieurs vaisseaux sont disponibles, allant du classique qu'on trouve dans tous les shoot'em up à des vaisseaux plus spécifiques comme celui qui tire des boules de plasma en tant qu'attaque secondaire. Un total de cinq niveaux de difficulté est disponible allant du mode "normal" au mode "judgement" qui vous fera hurler.

Never Alone est vraiment court, entre 2 et 3 heures de jeu, ce qui pourrait vous repousser vu son prix mais son vrai génie est dans l'histoire qu'il vous présente et comment il vous la raconte. Ce jeu est souvent comparé à Limbo par ses fans, non pas par rapport à son ambiance (qui n'est clairement pas la même) mais par rapport à sa difficulté presque inexistante car ce n'est clairement pas son but. La vraie envie du jeu est de raconter une histoire nous immergeant dans la culture inuite. Ce qui fait sa vraie force est le fait que l'histoire soit racontée en Iñupiaq et qu'elle fasse intervenir de vraies légendes que les Iñupiaqs se racontent depuis des années. Vous jouez en tant que Nuna, une petite fille, et Fox, un renard des neiges, qui devront s'entraider pour passer des obstacles sur leur chemin. Ces deux amis seront aussi aidés par des esprits qui prendront l'aspect de plateformes tout le long du jeu. Personnellement, j'ai adoré ce jeu, mais si vous n'aimez pas les jeux passifs, ne prenez pas la peine de faire plus de recherches sur celui-ci.

Volgarr the Viking est tellement difficile qu'il en deviendra frustrant pour plus d'un, ce qui en fait un jeu de mon genre préféré (oui, j'adore les jeux qui me torturent l'esprit). C'est un jeu d'action en vue de coté avec un style graphique et un gameplay très rétros dans lequel vous contrôlez un guerrier combattant diverses créatures à travers plusieurs mondes. Vous trouverez des coffres sur chaque map qui amélioreront votre équipement. Plus votre équipement est bon, plus vous serez puissant bien-sûr mais ce même équipement agit aussi comme une barre de vie. En effet, chaque coup que vous vous prenez rétrogradera votre équipement. Toutes les maps vous obligeront à connaitre chaque recoin par cœur et à savoir comment battre leur boss à l'avance si vous voulez les terminer car la marge d'erreur est très petite !