Poète observateur
Je représente ma plume de plomb ; j’étale, je manifeste à ma façon une fessée lyriquale sur un fond blanc que j’ai immortalisé à travers le temps ; écrire, c’est ma seule manière de m’exprimer, je ne connais pas la mode sans égoïsme sans frimer ; l’écriture, la prose, ma seule échappatoire, mon code, Ali baba et les quarante voleurs restent les mêmes ; les mêmes problèmes dans notre société dans notre quotidien la politique chez nous mène à rien, c’est un système conçu pour les milliardaires et les riches ; sans entré dans les détails tous les citoyens connaissent les problèmes, j’attends rien d’eux ils sont tous des pions le citoyen veux ses droits de la liberté dans ce pays son vœux et sa mission il veux s’épanouir étudier et se faire hospitaliser dans de bonnes conditions, le droit aussi à la liberté d’expression, mais moi je suis conscient et j’attends rien de vous ; vous êtes figé dans le temps des statuts debout vous êtes dépassé votre fin approche ; Ce pays à la maladie de l’hypocrisie et la fauche, ils ont troué les caisses et vidé les poches ; des discours, hallucinogènes rêve mon frère, il ne va régler rien de rien, il va encore et encore voler tes richesses et ton pain ; je crois plus aux élections et à tout leurs politiciens, je suis le peuple et mon pays, c’est le mien que des voleurs des hypocrites et des grands menteurs ; nos citoyens ne sont pas des révolutionnaires pour leurs biens, mais ils préfèrent se lamenter sur leurs sorts et l’hypocrisie, les larmes et les pleurs, j’étale, c’est mon espace d’expression où je peux verser des lignes à ma manière où je peux slamer et tirer mes rimes dans ces cœurs de pierre ; j’ai l’œil, je suis là et ici, je m’exprime un poète observateur.
Écrit Par : Badr Alaoui Mrani.
Poet observer
I represent my feather of lead; I spread out, I manifest in my own way a lyrical spanking on a white background that I immortalized through time; writing, this is my only way of expressing myself, I do not know the fashion without selfishness without frimer; writing, prose, my only loophole, my code, Ali baba and the forty thieves remain the same; the same problems in our society in our daily life politics at home leads to nothing, it is a system designed for billionaires and the rich; without going into details all citizens know the problems, I expect nothing from them they are all pawns the citizen want his rights of freedom in this country his wish and mission he wants to flourish study and be hospitalized in good conditions, the right also to freedom of expression, but I am aware and I expect nothing from you; you are frozen in the time of the standing statutes you are past your end approaching; This country with the disease of hypocrisy and broke, they have pierced the coffers and emptied the pockets; speeches, hallucinogens dream my brother, he will settle nothing, he will again and again steal your wealth and your bread; I believe more in elections and all their politicians, I am the people and my country, it is mine that thieves of hypocrites and great liars; our citizens are not revolutionaries for their property, but they prefer to lament their fate and hypocrisy, tears and tears, I spread out, it is my space of expression where I can pour lines in my way where I can slam and draw my rhymes in these hearts of stone; I have the eye, I am there and here, I express myself as an observer poet.
Written by: Badr Alaoui Mrani.