Il est tout de même très étrange — vous en conviendrez — que l’on puisse vendre le fluorure de sodium comme un très bon remède contre les caries, en en mettant dans l’eau, le sel et le dentifrice, alors que le produit lui-même, comme le démontre l’illustration ci-dessus, est un poison extrêmement toxique (raticide, souricide…). C’est le même schéma intellectuel et scientifique absurde que l’on retrouve pour le mercure des amalgames dentaires ! C’est pourquoi nous estimons opportune la rediffusion des deux vidéos concernant le fluor, réalisées en 2008 (la deuxième est accessible à la fin de cet article). Il n’est jamais trop tard pour comprendre et réagir.
Et vous pensiez que tout ce que le gouvernement fait, il le fait pour vous ? Vous devriez changer d’idée… La première fois que de l’eau potable a été fluorée, c’était dans les camps de concentration de l’Allemagne nazie. La Gestapo ne pensait pas aux présumés bienfaits du fluor sur les dents des enfants. Du fluorure de sodium était ajouté à l’eau afin de rendre les humains stériles et forcer les prisonniers des camps de concentration à demeurer dociles. (Source :_ The Crime and Punishment of I.G. Farben – Le crime et la sentence de I.G. Farben de Joseph Borkin_).
Voici une lettre qu’un chimiste nommé M. Charles Perkins a envoyé à la Lee Foundation for Nutritional Research (Fondation Lee pour la recherche en nutrition) de Milwaukee, Wisconsin, le 2 octobre 1954 :
« Dans votre lettre du 29 septembre, vous me demandiez plus de documentation sur une déclaration que j’ai faite dans mon livre The Truth About Water Fluoridation (La vérité sur la fluoration de l’eau), comme quoi ce serait le communiste russe Kreminoff qui aurait importé en Angleterre l’idée d’ajouter du fluor à l’eau.
Dans les années 1930, Hitler et les Nazis envisageaient d’imposer une philosophie nazie de pangermanisme au monde entier. Les chimistes allemands avaient mis au point un plan très ingénieux de grande portée permettant de contrôler la masse. Ils l’ont présenté à l’état-major allemand et il a été adopté. Ce plan consistait à contrôler la population de n’importe quel endroit en contaminant les réserves d’eau potable. De cette façon, ils pouvaient, entre autres, contrôler la population de régions entières et réduire la population en ajoutant des substances à l’eau causant la stérilité chez les femmes. Dans ce projet de contrôle de la population, le fluorure de sodium occupait une place de choix. » (…)
L’ingestion régulière de quantités infinitésimales de fluor réduit la capacité d’une personne à résister à la domination en empoisonnant et en intoxiquant lentement une certaine partie du cerveau. Cette personne devient donc soumise à la volonté de ceux qui désirent la gouverner. » (Une lobotomie légère pratique).
L’eau n’est pas fluorée pour améliorer la santé dentaire des enfants. Si c’était la raison véritable, cela pourrait se faire beaucoup plus facilement à des coûts moindres et de façon plus efficace. La fluoration de l’eau a comme but véritable de contrôler et dominer la population plus facilement et de lui faire accepter la perte des libertés individuelles. »
Quand les Nazis d’Hitler ont envahi la Pologne, les États-majors allemand et russe ont discuté de science et de guerre et ils ont échangé des idées, des plans et du personnel. Le projet de contrôler la masse par la contamination de l’eau a particulièrement intéressé les communistes russes qui y voyaient une façon idéale d’imposer le communisme au monde entier. » (…)
J’ai été informé de tous les aspects de ce plan par un chimiste allemand qui travaillait pour l’important consortium chimique I.G. Farben et qui était actif dans le mouvement Nazi à l’époque. J’affirme ceci avec toute l’ardeur et la sincérité d’un scientifique qui a passé presque vingt ans de sa vie à étudier la chimie, la biochimie, la physiologie et la pathologie du fluor : une personne qui boit de l’eau fluorée artificiellement pendant un an ou plus ne sera plus jamais la même physiquement ou mentalement. » – CHARLES E. PERKINS, Chimiste, 2 octobre 1954.
Dans une lettre parue en janvier 1952 dans The Catholic Mirror à Springfield, au Massachusetts, E.H. Bronner (un chimiste qui a été fait prisonnier de guerre durant la Deuxième Guerre mondiale) cite le neveu d’Einstein. Des extraits :
« Il semble que les citoyens du Massachusetts sont les suivants à l’ordre du jour des empoisonneurs d’eau. »
« Aujourd’hui, dans notre pays, travaille un réseau sinistre d’agents subversifs et de parasites ‘intellectuels’ sans Dieu. Les ramifications de ce réseau deviennent de plus en plus importantes, efficaces et alarmantes d’année en année. Son objectif véritable est de démoraliser, paralyser et détruire notre grande République – selon leurs plans, de l’intérieur si c’est possible – afin de s’en approprier.
Le succès tragique qu’ils ont déjà obtenu durant leur long siège pour détruire le courage moral de la vie américaine est maintenant l’un de leurs meilleurs atouts pour leur victoire finale sur nous. La fluoration de l’eau de notre communauté peut très bien devenir leur arme la plus subtile qui nous détruira physiquement et mentalement de façon certaine. (…) »
Je suis un chercheur en chimie dont la réputation n’est plus à faire. Pendant les 22 dernières années, j’ai construit trois usines américaines de produits chimiques et j’ai accordé des licences pour six de mes 53 brevets. Selon l’expérience pratique que j’ai acquise au cours des années dans les domaines de l’alimentation biologique et de la chimie, laissez-moi vous avertir : la fluoration de l’eau potable est une folie criminelle, un suicide national certain. Ne le faites pas.
Même en petites quantités, le fluorure de sodium est un poison mortel contre lequel aucun antidote efficace n’a été trouvé. Tous les exterminateurs savent qu’il est la substance la plus efficace pour tuer les rats… Le fluorure de sodium est complètement différent du fluorophosphate de calcium organique fourni par la nature, grâce à l’amour et la providence de Dieu, dont notre corps a besoin pour bâtir et renforcer nos os et nos dents. Ce fluorophosphate de calcium, lorsqu’il provient des aliments appropriés, est un sel organique comestible qui ne se dissout pas dans l’eau et qui peut être facilement assimilé par le corps humain, tandis que le fluorure de sodium non organique utilisé pour fluorer l’eau est un poison instantané pour le corps et il est complètement soluble dans l’eau. Le corps refuse de l’assimiler.
Des expériences méticuleuses et objectives en laboratoire effectuées par des ingénieurs chimistes consciencieux et patriotiques ainsi que l’expérience médicale actuelle ont démontré qu’au lieu d’aider à conserver une bonne santé dentaire, l’eau potable fluorée détruit les dents, avant et après l’âge adulte, en les tâchant et en leur causant des maladies. Elle provoque aussi d’autres maladies graves aux organes internes de la personne qui la boit. Comment peut-on dire que c’est un projet « sain » ? Que se cache-t-il derrière tout cela ?
Il est incroyable que des soi-disant « médecins » puissent convaincre une nation civilisée d’ajouter volontairement un poison mortel à son eau potable. C’est le comble de la folie criminelle.
Il n’est pas surprenant qu’Hitler et Staline se soient entendus de 1939 à 1941 sur un point, citant Le dernier testament de Lénine et Mein Kampf (Mon combat) d’Hitler : « L’Amérique que nous démoraliserons, diviserons et détruirons de l’intérieur. » (…)
Est-ce que nos organisations de Protection Civile et nos agences sont au courant des dangers de l’empoisonnement de l’eau par fluoration ? D’autres pays fluorent leur eau potable.
Selon les chimistes, les mélanges d’eau et de fluorure de sodium sont les plus efficaces et les moins coûteux pour tuer les rats : sans couleur, sans odeur, sans goût ; pas d’antidote, pas de remède, pas d’espoir : une extermination complète et instantanée des rats.
La fluoration de l’eau peut être un suicide national lent ou une liquidation nationale rapide. C’est de la folie criminelle. Une trahison ! – E.H. BRONNER, Ingénieur chimiste, Los Angeles.
La plus vieille preuve russe disponible sur la fluoration :
« Moi, Oliver Kenneth Goff, étais membre du Parti Communiste et de la Youth Communist League (Ligue de jeunesse communiste) du 2 mai 1936 jusqu’au 9 octobre 1939. Durant cette période, j’opérais sous l’alias John Keats et mon numéro était 18-B-2. Ma déposition devant le Gouvernement se trouve dans le Volume 9 du Un-American Activities Report for 1939. (Rapport sur les activités anti-américaines en 1939).
Pendant que j’étais membre du Parti Communiste, je suis allé à des écoles enseignant le communisme à New York et au Wisconsin (…) et on nous préparait pour le renversement révolutionnaire du gouvernement américain. (…) Nous avons amplement discuté de la fluoration des réserves d’eau et de la façon dont on s’en servait en Russie comme tranquillisant dans les camps de prisonniers. Les dirigeants de notre école étaient d’avis que si du fluor était ajouté aux réserves d’eau des américains, un esprit de léthargie envahirait la nation, ce qui rendrait les gens dociles pendant l’intrusion progressive du communisme. Nous avons aussi discuté du fait que garder du fluor mortel près du réservoir d’eau serait avantageux pendant la révolution car il serait possible de verser ce poison dans les réserves d’eau et ainsi tuer la population ou bien la menacer de liquidation. Elle se rendrait donc pour obtenir de l’eau fraîche. »
Source : RI