Le tribunal suprême de Corée du Sud ordonne la confiscation du bitcoin et reconnaît la crypto-monnaie comme un actif

La première cour de la Corée a renversé la loi pour saisir 191 Bitcoin gagnés par la fourniture de pornographie juvénile, mettant fin à une longue bataille sur le statut juridique de la crypto-monnaie.
Appelant une décision de septembre 2017 qui a jugé une telle confiscation illégale, la Cour suprême verra la confiscation de 2,3 milliards de dollars de BTC d'un homme de 33 ans surnommé Ahn - le propriétaire d'un site Web de pornographie enfantine.
Condamné en septembre 2017, Ahn et sa cache Bitcoin ont été la cause de mois de débats - les procureurs n'ont pas confisqué 216 BTC à Ahn en avril 2018. Exemptant Bitcoin d'une telle action, un tribunal inférieur a rejeté la confiscation sur la base que BTC n'avait aucun forme.
La Cour suprême, cependant, voit les choses différemment. Citant la loi coréenne, le tribunal suprême de la nation a rejeté l'argument de «l'intangibilité» expliquant:

Cette décision marque la première expropriation de la crypto-monnaie dans la nation de l'Asie de l'Est, accentuant encore la reconnaissance de la «valeur mesurable» de l'actif. La Cour suprême a déclaré:

Bien que les Bitcoins aient été qualifiés de «produits de la criminalité», la Haute Cour n'a pas ordonné que tous les fonds d'Anh soient détruits (191 sur 216 BTC) - ayant identifié le nombre exact d'unités Bitcoin payées pour la pornographie.
Là où les utilisateurs les plus anarchiques de la cryptomonnaie pourraient voir la décision comme un coup dur, beaucoup accueilleront invariablement la clarté juridique - la classe d'actifs se distanciant de tels usages néfastes.
Quelques semaines après avoir déménagé pour permettre aux ICO domestiques, la Corée du Sud peut maintenant se positionner en tant que leader réglementaire dans une économie remplie de points d'interrogation.
Si seulement profond, la décision peut être considérée comme une victoire triomphale pour les amateurs de Bitcoin - qui ont assisté à une déclaration légale de la valeur économique de la pièce.