La fascinante Karen Blixen 🌟, l'Afrique 🌍 et moi ✨

in blixen •  7 years ago  (edited)

La Flamboyante Aventurière Karen Blixen, ses poétiques plateaux kényans et moi ...




Encore tout récemment ... d'où la naissante chorégraphie synchronisée de ce post, outre l'admiration que je dédie à cet écrivaine au parcours atypique, une Vie - Odyssée, entre légèreté et tragédie, il m'était délicat de lui rendre honneur pour toutes ces raisons qui m'apparentent communément à cette aventurière flamboyante du XX ème siècle, peut être par pudeur de se rencontrer soi même dans une âme antérieurement existante - portrait étoilé - bien trop flatteur l'affiliation - réplique - embellie - par contre je m'assimile volontiers à la partie inspiration aérienne - africaine. Femme -Âme colorée - mêlée - honnête - icône - égérie - qu'elle incarne - amoureuse érudite, conteuse, romancière, éprise de conquêtes multiformes - elle insuffle avant tout la Femme Libre par excellence ... Gente Dame Danoise - Révérence à la Baronne Karen Blixen -







Dominique de Saint Pern, journaliste et auteur lui dévoue son épisode biographique "Baronne Blixen" au sein duquel je retiens un passage qui m'interpelle singulièrement - comme une résonance parfaite de mes entrailles -
"Chaque mot, chaque ligne étaient inscrits dans sa chair. Ils étaient nés du désastre et des merveilles de sa vie. Jadis, il y avait des siècles de cela, elle avait été une femme portée par l'espérance. Elle avait aimé démesurément, désespérément."



# http://education.francetv.fr/matiere/litterature/seconde/video/la-ferme-africaine-de-karen-blixen

Karen Blixen (1885-1962) de sa ville natale au Danemark à la ferme africaine de Nairobi au Kenya "au pied des monts Ngong", non loin du Lac Victoria, elle compose son Chef d'œuvre
au large succès (1937) - La Ferme africaine - Den afrikanske Farm - Out of Africa - et Voilà le point de convergence capital - l'écriture et la vision fascinante de son Afrique contée - me reliant à cette créature originale à la destinée inusité - inaccoutumée - irrégulière - inouïe - densément poignante, captivante, envoûtante, déchirante, enivrante - assurément en raison d'un Amour débordant absorbant passions kyrielle - alliance première et conjointe à l'évocation du consortium africain - au sein duquel se révèle l'exil de la quintessence suprême - la condition humaine - naturellement libre de tout dogme - à l'état brut, pur, sauvage - une magie transcendantale abrite et sauvegarde l'âme d'un monde authentique de beauté ethnique - vérité unanime - saisir la substantifique moelle de ce continent majeur d'exemplarité - valeurs innées - essentielles au bonheur - cet encensement remplit le Coeur pour toute une vie en quête de simplicité humaniste -






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L'ordre du tout premier ordre - voix de sagesse absolue - l'éducation est une notion - mesure toute relative dans cette échelle vibratoire d'énergie émotionnelle -
elle insuffle une toute autre alternative du consensus imposé par le contrôle structurel pyramidale, option égarée du monde civilisé - hautes prétentions - potentiel désenchanté - axe de Vie détourné - à cet endroit Afrique - le retour aux sources est irréversible - le berceau de l'humanité rappelle les fondamentaux de survivance autour d'une croyance - noyau central : l'humanité ... est l'unique point de départ - rien d'autre - alors foutre les confrontations des grands empires aux allures de rois du monde conquérants dégainant leurs armes de productivité capitaliste funeste - ils ne sont rien - ils ne sont plus rien - leur place réside au cimetière des mécréants - la Terre des Hommes mérite respect des lois naturelles - vectrices d'un mode d'emploi vertueux -
Gaïa est Reine - avant toute autre espèce - l'homme se doit d'en prendre conscience avant l'extermination de sa propre race auto - sabotée - L'espoir est permis, mais le réveil de l'éveil est la condition sinequanone d'une planète biosphère pérenne - l'ultime régulation se veut avant tout naturelle - la paix sera alors acquise - universellement unanime - et la Vie sur terre poursuivra son cantique ... celui des oiseaux ... du paradis -






Autres points confluents ...
Entre elle et moi ...

Riche ... mon cas diffère ... pauvre par procuration, elle rejette le mode de vie bourgeois et se tourne vers la peinture et l'écriture ... je me fonds dans ses propos ... Elle disait :
"Je n'ai jamais tant aimé en ce monde que la peinture et l'écriture. Mais si j'avais à choisir, je ne serais ni peintre ni écrivain mais fermière. " Je dirais pour ma part : je ne serais ni écrivaine, ni peintre mais Gardienne des paradis perdus - terre sauvage Mienne -



Elle fait ses débuts d'écrivain en 1907 par la publication d'un conte, Les Reclus (Eneboerne). D'autres suivront jusqu'en 1909. Puis Karen Blixen cesse d'écrire, devant leur peu de succès. Elle a connu ce que je Vis jusqu'alors de mes expériences similaires d'écriture engagée - investie - au bémol d'une "bérézina " perdurante "for me " - fléau des intermittents passionnés - ils avancent dans la nébuleuse dans le sacrement d'être eux mêmes - j'approuve l'insuccès qui conduit tout droit à la prouesse d'un jour prochain - espoir toujours -

Je garde en mémoire ... la dernier phrasé de l'ouvrage du "Festin de Babette " à laquelle je prends part de manière pantagruélique ... qu'importe l'écho de la 3 D ...

"Moi aussi je suis une artiste" !!!!




Elle s'était choisie un nom de plume -
Isak Dinesen, férue de la kabbale, en hébreu, il signifie "celui qui rit".
J'avoue quelques flagrantes correspondances avec cette Dame Sacrée - attrait - intérêt de la discipline kabbalistique - à commencer par un nom de famille - particulièrement significatif - "Schild" : Le bouclier qui trouve édition d'un missel de magie blanche sous l'intitulé : Der Geistlishe Schild : Le bouclier spirituel - nom patriarcal qui regorge de surprises avec comme racine originelle, l'appartenance "ashkénaze" - je comprends mes prédispositions - préférences à la pratique numérologique, science datant de la kabbale - que de remembrements -

Je n'ai donc pas pu résister à la réalité chiffrée de Karen Blixen :
J'observe un 7 omniprésent -
-elle naquit un 17 Avril 1885 = son chemin de Vie = numéro 7 -
-elle débute l'écriture en 1907 -
-Son Œuvre : Les 7 Contes Gothiques = 1934 -
-Son Succès "la Ferme africaine " = édition 1937 -
-Les Contes d'hiver = 1942 = 7 -
-Les derniers Contes = 1957 -
-Son adieu terrestre un 7 septembre 1962 = jour 7 - à l'âge de 77 ans -

Foncièrement idéaliste avec l'aspiration inconditionnelle d'une âme en perpétuelle quête spirituelle - un trop plein d'amour inaltérable -
Femme 7 d'exception !!




Quelques retours d'événements glanés au détour du net -

  • L'actrice américaine s'est battue comme une lionne pour décrocher le rôle. Sydney Pollack imaginait une actrice plus sexy pour incarner cette "aguicheuse" de Blixen.

  • Sa maigreur effrayante et son visage outrageusement fardé exerçaient un pouvoir magnétique sur les hommes. Certains ne s'en sont jamais relevés.





  • Ils sont nombreux à avoir succombé au charme de la baronne Blixen : Truman Capote, Gloria Vanderbilt et Sidney Lumet, Marilyn Monroe et Carson McCullers à New York en 1959, mais aussi Cecil Beaton ou Richard Avedon.

  • Farah, son fidèle domestique, a été celui qui l'a protégée tout au long de sa vie africaine.

  • Blixen vit sa plus grande histoire d'amour avec Denys Finch Hatton. Aventurier, guide de safari, charismatique et érudit, il l'encourage à écrire. Il finit par la quitter pour l'aviatrice Beryl Markham. Il s'écrase à bord de son avion personnel en mai 1931. Dévastée par la disparition de son amant adoré et ruinée par la faillite de sa ferme, elle quitte l'Afrique pour le bord de la mer du Nord.

Karen Blixen doit quitter définitivement l'Afrique en juillet 1931. Dans une dernière lettre avant de quitter le continent africain, elle écrit :

Même si elle a été un peu plus tendre envers certains autres, je suis malgré tout persuadée que j'ai été l'un des favourite children de l'Afrique. Un vaste univers de poésie s'est ouvert à moi et m'a laissée pénétrer en lui ici, et je lui ai donné mon cœur. J'ai plongé mon regard dans celui des lions et j'ai dormi sous la Croix du Sud, j'ai vu les grandes plaines être la proie des flammes, et alors qu'y poussait une herbe verte et tendre après la pluie, j'ai été l'amie de Somali, de Kikuyu et de Maasaï, et j'ai survolé les Ngong Hills : « j'ai cueilli la plus belle rose de la vie » — je crois que ma maison a été une sorte de refuge pour les passants et pour les malades, et qu'elle a été pour tous les Noirs le centre d'un friendly spirit ... esprit ami !




> "Where're You Walk".





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> essavan@555 - love africa 🌍💚🙏🏻

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