LE BOLCHEVISME : SYSTÈME COMMUNISTE DE LA CABALE TALMUDISTE BABYLONIENNE !

in bolchevisme •  3 years ago 

Qu’il suffise de rappeler les noms de ceux qui formèrent les gouvernements et les principaux organismes directeurs de l’Union Soviétique pour savoir à quoi s’en tenir, avant même la claire et éclatante démonstration des faits.

MEMBRES DU PREMIER GOUVERNEMENT BOLCHEVIQUE DE MOSCOU (1918).

1. Illich Ulin (Vladimir Illich Ulianov ou Nicolas Lénine) Président du Soviet Suprême, talmudiste par sa mère. Celle ci était née Blank, et était une talmudiste d’origine allemande ;

2. Lew Davidovitch Bronstein (Léon Trotsky) Commissaire à l’Armée Rouge et à la Marine, talmudiste ;

3. Iosiph David Vissarianovich Djugashvili-Kochba (Joseph Vissarianovitch Staline) Commissaire aux Nationalités, talmudiste;

4. Chicherine, Commissaire aux Affaires Étrangères, russe ;

5. Apfelbaum (Gregoire Zinoviev), Commissaire à l’Intérieur, talmudiste ;

6. Kohen (Volodarsky), Commissaire à la Presse et à la Propagande, talmudiste ;

7. Samuel Kaufman, Commissaire aux Domaines de l’État, talmudiste ;

8. Steiberg, Commissaire à la Justice, talmudiste ;

9. Schmidt, Commissaire aux Travaux Publics, talmudiste ;

10. Ethel Knigkis en (Liliane) Commissaire au Ravitaillement, talmudiste ;

11. Pfenistein, Commissaire à l’Accueil des Réfugiés, talmudiste ;

12. Schlichter (Vastanoleinine), Commissaire aux Logements (Réquisitions de maisons particulières pour les rouges), talmudiste ;

13. Lurie (Larine), Président du Soviet Economique Supérieur, talmudiste ;

14. Kukor(Kugorski), Commissaire à l’Economie, talmudiste ;

15. Urisky (Radomilsky), Commissaire aux "Elections", talmudiste ;

16. Lunacharsky, Commissaire à l’Enseignement Public, talmudiste ;

17. …[n° manquant]

18. …[n° manquant]

19. Protzian, Commissaire à l’Agriculture, arménien.

Sur un total de cinq cent deux (502) postes de premier plan dans l’organisation et la direction de la révolution communiste de Russie et de la direction de l’État Soviétique durant ses premières années, pas moins de quatre cent cinquante neuf (459) de ces postes étaient occupés par des talmudistes et seulement quarante trois (43) par des chrétiens de diverses origines.

Alors, lesquels ont réellement accompli cette horrible révolution ? les russes?

Une autre statistique, publiée semble-t-il par le périodique contre-révolutionnaire russe « Le Russe Nationaliste » après le triomphe des talmudistes communistes en Russie, indique que sur un total de cinq cent cinquante quatre (554) dirigeants communistes de premier plan occupant diverses fonctions, on trouvait : 447 talmudistes, 43 Lithuaniens, 30 Russes, 13 Arméniens, 12 Allemands, 3 Finlandais, 2 Polonais, 2 Géorgiens, 1 Tchèque, 1 Hongrois.

Pendant la deuxième guerre mondiale et après celle-ci, la Cabale talmudiste qui gouvernait l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques continua d’être très nombreuse, et le premier de la liste fût Staline lui-même, dont on a cru longtemps qu’il était géorgien de pure origine et dont on a découvert que non, car Djougashvili est un nom qui signifie "fils de Djou", et Djou est une petite ile de Perse vers laquelle émigrèrent de nombreux talmudistes marranes portugais exilés, qui passèrent ensuite en Géorgie.

Il est actuellement tout à fait prouvé que Staline était talmudiste, bien qu’il n’ait jamais ni confirmé ni démenti les rumeurs qui commençaient à courir à ce sujet.

Voici une liste des hauts fonctionnaires soviétiques du gouvernement de Staline :

1. Jdanov (Yadanov), talmudiste s’appelant en réalité Liphshitz, ex-commandant de la Défense de Léningrad pendant la guerre, membre du Politburo jusqu’en 1948 et l’un des auteurs de la résolution qui exclut Tito du Kominform en 1948, décédé peu après ;

2. Lavrenty Beria, talmudiste, chef de la Police du M. V. D. et chef de l’Industrie Lourde soviétique, membre du Comité directeur de l’Industrie Atomique soviétique, exécuté sur l’ordre de Malenkov pour le même motif que Staline liquida Yagoda ;

3. Lazare Kaganovitch, talmudiste, chef de l’Industrie Lourde soviétique, membre du Politburo de 1944 à 1952, puis membre du Présidium et ensuite Président du Présidium du Soviet Suprême de l’URSS ;

4. Malenkov (Georgi Maximilianovich Malenk), membre du Politburo et de l’Orgburo jusqu’en 1952, ensuite membre du Présidium Suprême et Président du Conseil des ministres jusqu’à la mort de Staline ; ministre du gouvernement de Boulganine à partir de 1955. Il est talmudiste d’Ornenbourg et non pas cosaque comme il l’affirme. Le nom de son père Maximilien Malek est typiquement talmudiste russe. Il y a en outre un détail très important qui dévoile la véritable origine de Malenkov et aussi de Kroutschev. L’épouse de Malenkov fut la talmudiste Pearlmutter, connue comme "la camarade Schemschne" qui fut ministre de la Pêche dans le gouvernement soviétique en 1938.

Il n’existe pas de biographie officielle de Malenkov, et ceci est certainement du à ce qu’il ne tenait pas que l’on découvre son origine talmudiste ;

5. Nicolas Salomon Kroutschev, l’actuel (NDT en 1968) chef du Parti Communiste soviétique, membre du Politburo depuis 1939 soit la même année que Malenkov fut élu membre de l’Orgburo. Il était le frère de l’épouse de Malenkov, c’est à dire de la talmudiste Pearlmutter et donc talmudiste lui même, et s’appelait Pearlmutter de son vrai nom ;

6. Le Maréchal Nicolaï Boulganine, Premier ministre soviétique, ancien fonctionnaire de banque, fut l’un des dix talmudistes membres du Commissariat pour la Liquidation des Banques privées en 1919 ;

7. Anastase Iosiphovich Mikoyan, membre du Politburo depuis 1935, membre du Présidium Suprême depuis 1952, ministre du Commerce et vice Président du gouvernement de Malenkov. C’est un talmudiste d’Arménie et non pas un Arménien authentique comme on le croit ;

8. Kruglov, chef du M. V. D. (police secrète) depuis Beria. C’est par ordre de Kruglov que furent remis en liberté les médecins talmudistes arrêtés en 1953 par Riumine, le Sous-chef de la Police pendant le mandat de Beria. Il était également talmudiste. À la mort de Staline, survinrent ces querelles de famille entre talmudistes qui éclatent parfois sous l’effet des ambitions de pouvoir, et le talmudiste Beria fut assassiné par ses frères israélites du Gouvernement de Moscou, comme bien des années auparavant les talmudistes Staline, Vychinski, Kaganovitch et leurs amis avaient fait tuer les talmudistes Trotski, Zinoviev, Kamenef, Radek, Boukkharine et des milliers de leurs partisans israélites, dans la guerre intestine, véritable guerre civile, survenue au sein du Talmudisme, que les deux factions talmudistes soutinrent l’une contre l’autre pour s’assurer le contrôle de la malheureuse Russie et du Communisme international ;

9. Alexandre Kossyguine, talmudiste également, fut membre du Politburo jusqu’en 1952, puis suppléant au Présidum du Soviet Suprême et Ministre de l’Industrie Légère et de l’Alimentation du gouvernement Malenkov;

10. Nicolas Schvernik, membre du Politburo jusqu’en 1952, ensuite membre du Présidium Suprême et membre du Présidium du Comité Central, talmudiste ;

11. Andrés Andrievich Andriev, qui était connu comme le "polit-burocrate" des 3 À, membre du Politburo entre 1931 et 1952, talmudiste de Galicie en Pologne. Il adopta un pseudonyme russe ;

12. P. K. Ponomarenko, talmudiste, mermbre de l’Orgburo en 1952, depuis, membre du Présidium Suprême et Ministre de la Culture dans le gouvernement de Malenkov ;

13. P. F. Yudine (Iuden) membre suppléant du Présidium Suprême et titulaire du Ministère des Matériaux de Construction dans le gouvernement de Malenkov de 1953, talmudiste ;

14. Mikhail Pervukine, talmudiste, membre du Présidium du Comité Central du Parti Communiste depuis 1953 ;

15. N. Schataline, potentat du Sous-secrétariat du Comité Central du Parti Communiste, talmudiste ;

16. K. P. Gorschenine, talmudiste, Ministre de la Justice, dans le gouvernement de Malenkov ;

17. D. Ustinov (Zambinovich), talmudiste, Ambasadeur soviétique à Athènes jusqu’à la deuxième guerre mondiale ; devint ministre de la Défense dans le gouvernement de Malenkov ;

18. V. Merkulov, Ministre du Contrôle de l’État à l’époque de Malenkov ;

19. À. Zasyadko, Ministre de l’Industrie Charbonnière sous Malenkov, talmudiste ;

20. Cherburg, Chef de la Propagande soviétique, talmudiste ;

21. Milstein, l’un des dirigeants talmudistes de l’Espionnage soviétique.

22. Ferentz Kiss, Chef du Service d’Espionnage soviétique en Europe, talmudiste ;

23. Potschrebitscher (Poscrebichev), israélite, ex-secrétaire particulier de Staline, puis chef des Archives secrètes du Kremlin ;

24. Ilyia Ehrembourg, député de Moscou au Soviet Suprême, écrivain soviétique, également talmudiste ;

25. Mark Spivak, député de Staline (Ukraine) au Soviet Suprême de Moscou, également israélite ;

26. Rosalia Goldenberg, talmudiste, députée du Birobidjan au Soviet Suprême de Moscou ;

27. Anna E Kaluger, talmudiste, députée de Bessarabie au Soviet Suprême. Son frère qui s’appelle actuellement non pas Kaluger mais Calugaru, en roumain, est un potentat communiste dans l’Administration en Roumanie. Ajoutons que Kalinine, le Président en titre durant le gouvernement de Staline et décédé depuis quelques années, était également talmudiste.

Il est donc bien clair que l’antisémitisme de Staline fut une grande imposture, et que l’assassinat des talmudistes trostkystes, sinovievistes et boukkharinistes qui fut entreprise pour s’assurer le pouvoir se déroula entre talmudistes. En dernière analyse, la lutte entre le talmudiste Trotsky et le talmudiste Staline fut une bataille entre deux clans talmudistes pour la prise de contrôle du gouvernement communiste que ceux ci avaient créé, une simple querelle de famille.

En est la preuve la liste suivante des Commissaires aux Affaires Étrangères au moment où Staline se débarrassa de tant de talmudistes qui étaient dangereux pour son pouvoir personnel :

1. Maxime Davidovitch Litvinoff, Ministre Soviétique des Affaires Étrangères jusqu’à 1939, époque à laquelle il fut remplacé par Molotov, mais il occupa ensuite de hautes fonctions dans ce même ministère jusqu’à sa mort en février 1952. Il était né en Pologne, fils de l’agent de banque talmudiste Meer Genokh Moisevitch Vallakh. Pour masquer son vrai nom, Maxime Moisevitch Vallakh (Litvinoff) utilisa au cours de sa carrière divers pseudonymes, entre autres Finkelstein, Dudwig Nietz, Maxime Harryson, David Mordecay, Félix, et finalement, une fois devenu un haut cadre du régime communiste en Russie, il adopta celui de Litvinoff ou Litvinov.

Quand ce talmudiste fut remplacé par Molotov en 1939, la talmudisterie du monde occidental et toute la presse judéo-maçonnique commencèrent à hurler qu’il avait été écarté par Staline "parce qu’il était talmudiste", mais ils se gardèrent bien de dire ensuite que Litvinoff resta au Ministère jusqu’à sa mort. Pourquoi le dire, si cela n’intéressait pas la conspiration ? Dans les Mémoires de Litvinoff, publiés après sa mort, il est écrit qu’à son avis, rien ne changerait en Russie soviétique après la mort de Staline. Et en effet Staline mourut un an après Litvinoff, et rien ne changea dans la politique intérieure et extérieure soviétique.

Ce que l’on nomme en Occident les changements de la politique soviétique ne sont que de simples artifices de propagande adaptés aux besoins du plan de domination mondiale des talmudistes.

Rien n’a changé après la mort de Staline. Il y eut un peu d’agitation due au manque d’un chef suprême de la stature de Staline ou de Lénine, mais c’est tout. Grâce à quoi, les conspirateurs judéo-maçons d’Occident cherchent à dépeindre le cours ténébreux du soviéto-communisme de couleurs brillantes, parlant de "pacifisme", de "coexistence", "d’humanisation", etc. pour le présenter au monde comme quelque chose d’inoffensif.

Lorsque Livinoff affirma que rien ne changerait avec la mort de Staline, il savait bien que c’est en effet ce qui se passerait, parce que Staline n’était que l’un des opérateurs de la bande talmudique qui dirige l’URSS, et qu’après lui, les autres demeureraient en place pour poursuivre le plan de domination mondiale auquel collaboraient les Boulganine, Baruch, Reading, Maurice Thorez, Mendes-France, David Ben Gourion et bien d’autres.

Poursuivant la liste des talmudistes du Ministère des Affaires Étrangères d’URSS, nous avons :

2. Andrès Ianuarevitch Vichinsky, qui fut le Ministre des Affaires Étrangères de l’URSS avant la mort de Staline, puis ensuite Délégué permanent de l’Union Soviétique à l’ONU, où il ne perdait pas une occasion de lancer des insultes contre les pays non-communistes, comme il le faisait lorsqu’il était "Juge populaire". Son nom talmudiste était Abraham Ianuarevine. Ce talmudiste fut procureur dans les procès qui condamnèrent à mort les talmudistes ses frères de race qui constituaient la vieille garde révolutionnaire de Lénine, et qui furent assassinés par Staline et sa bande également talmudiste, dans leur lutte pour le pouvoir en Russie.

3. Jacob Malik, le représentant Soviétique devant l’ONU et haut personnage dans la hiérarchie diplomatique soviétique, talmudiste.

4. Valerian Zorine, pendant un temps Ambassadeur à Londres, et aussi grande figure de la diplomatie soviétique, qui changea de poste selon les nécessités.

5. Gromyko, également diplomate talmudiste.

6. Alexandre Uanoushkine, ex-Ambassadeur soviétique à Washington, puis Ambassadeur à Pékin en 1955, considéré alors comme le véritable dictateur de la Chine rouge jusqu’à ce que Mao-Tsé-Tung, fidèle au stalinisme, se rebelle contre Kroutschev lorsque ce dernier trahit le stalinisme.

7. Zambinovitch (Ustinov) talmudiste, Ambassadeur à Athènes jusqu’en 1940.

8. Almirante Radionovitch, Ambassadeur à Athènes entre 1945 et 1946 c’est à dire pendant la préparation du coup d’État communiste en Grèce, talmudiste.

9. Constantin Omansky, envoyé à Washington pendant la deuxième guerre mondiale et ensuite haut dirigeant au Ministère des Affaires Étrangères de Moscou.

10. Manouilsky, ex-représentant en Ukraine et à l’ONU, fut Président de l’Ukraine (en 1962), talmudiste aussi.

11. Ivan Maïsky, israélite, Ambassadeur à Londres durant la deuxième guerre mondiale, ensuite haut fonctionnaire au Ministère des Affaires Étrangères à Moscou.

12. Mme Kolontaï, Ambassadrice à Stockholm jusqu’à son décès en mars 1952.

Auparavant cette talmudiste vécut à Mexico où sa famille israélite s’était alliée à l’aristocratie russe qu’elle trahit, tout comme l’ont fait tous ces talmudistes qui s’infiltrèrent dans la noblesse par des mariages mixtes ou à l’aide de titres nobiliaires obtenus pour services rendus à des rois, qui sans s’en rendre compte minèrent ainsi la puissance de la noblesse de sang, en facilitant, tantôt sa mise en tutelle par le talmudisme comme il advint en Angleterre, tantôt le renversement de la monarchie elle-même comme dans d’autre pays.

13. D. Solod, Ambassadeur au Caire en 1955. Celui-ci, aidé d’un groupe de talmudistes du corps diplomatique en poste au Caire, dirige la conspiration israélite dans le monde arabe sous protection diplomatique soviétique, à l’insu du Gouvernement Egyptien. Ce gouvernement ne devrait portant pas oublier que David Ben Gourion le Premier Ministre d’Israël, tout comme Golda Meierson, le Ministre d’Israël à Moscou, sont l’un et l’autre des talmudistes russes comme Solod.

On ne doit pas oublier non plus que ce fut le talmudiste Yagoda, à l’époque chef de la Police secrète de Staline, qui fut celui qui dirigea avec son équipe de bourreaux israélites le massacre des talmudistes ennemis de Staline en URSS.

En 1968, le Duc de la Victoria, conclut après une minutieuse enquête :

Je ne crois pas que l’on puisse avoir un doute quelconque sur l’origine de tous ceux qui dirigèrent et qui occupèrent les premiers postes à Moscou depuis les premiers moments de la révolution ; ce qui est lamentable pour les Russes, c’est que malgré le temps écoulé, leur situation a extrêmement empiré, parce que le nombre de talmudistes en Russie a augmenté de manière alarmante et que tous les principaux postes dirigeants sont entre leurs mains…

À l’égal de la Russie, les pays d’Europe où le Communisme s’est imposé sont totalement tombés sous la domination de la minorité talmudiste, qui partout dirige le gouvernement communiste d’une main de fer, criminelle et impitoyable pour assurer la mise en esclavage des citoyens autochtones par un groupe insignifiant de talmudistes. Il suffit de passer en revue les principaux dirigeants des dictatures communistes, qui toujours sont talmudistes, et c’est un argument encore plus convainquant que tout.

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