En une belle après-midi ensoleillée Akeva jouait au ballon avec ses cousines à la plage, le ballon leur échappa. Akeva suivit le ballon dans l’eau qui s’éloignait étrangement de plus en plus loin et de plus en plus vite jusque derrière un gros rocher. Elle contourna le rocher et découvrit une jeune fille assise dans l’eau le ballon entre ses mains, c’était Nêvè.
Nêvè : Bonjour Akeva, je m’appelle Nêvè, je t’ai attirée ici par le ballon pour te contacter.
Akeva : bonjour, enchantée, pourquoi voudrais-tu me contacter ?
Nêvè : on n’en parlera une autre fois pour l’instant je n’ai pas beaucoup de temps, j’ai quelque chose à te proposer qui va te plaire, prends ce coquillage, ne le perds surtout pas, ça nous permettra d’être en contact.
Les cousines d’Akeva se rapprochaient en l’appelant, une fois arrivées à sa hauteur elles lui demandaient à tour de rôle :
Nlalo : est-ce que tout va bien ?
Akeva : oui ça va.
Divinè : et pourquoi n’as-tu pas répondu quand on t’appelait ?
Akeva : ah bon vous m’avez appelée ? Je n’ai rien entendu.
Nêvè étant un être surnaturel, elle brouillait les ondes par un champ magnétique qui la rendait visible par Akeva uniquement à qui elle voulait parler.
Mola : comment se fait-il que tu n’aies rien entendu ? Nous criions toutes et tu n’étais même pas si loin, tu aurais dû nous entendre.
Akeva : et pourtant je n’ai rien entendu.
Matoyi : c’est bizarre, tu es sûre que tout va bien ? Et où est le ballon ?
Akeva : ah oui le ballon.
Akeva le pris entre les mains de Nêvè, dit « merci c’est gentil », Nêvè lui fit signe avec le doigt sur les lèvres de se taire.
Akeva fut perplexe et la regarda d’un air interrogateur.
Matoyi : à qui dis-tu merci ? Et qu’est – ce que tu regardes ?
Akeva comprit que ses cousines ne voyaient pas Nêvè.
Akeva : euh… Rien… Oui je remercie la mer qui nous a rendu le ballon. Dit-elle avec un sourire bête.
Nlalo : que-t ’arrive -t- il ? Tu n’entends pas quand on t’appelle, tu parles avec les vagues, tu regardes le vide, dis – nous ce qui ne va pas.
Toutes ses cousines la regardaient inquiètes.
Akeva : je crois que je vais rentrer à la maison, je ne dois pas être en bonne forme.
Mola : subitement comme ça tu te sens mal, qu’est ce qui se passe ?
Akeva : je suis juste fatiguée, je vais me reposer, mais ne m’accompagnez pas, profitez de la plage, une si belle journée ce serait dommage de la gâcher.
Nlalo : qu’est cette attitude ? Tu ne te sens pas bien et tu ne veux pas qu’on t’accompagne ? Si tu fais un malaise en chemin qui te secourra ? Ne dis donc pas de bêtise, on te raccompagne.
Akeva : non mais en fait je vais bien, c’est juste que…
Sans la laisser terminer sa phrase la plus âgée dit :
Divinè : on t’accompagne ne discute pas.
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