Aujourd'hui je suis retourné voir de veilles amours histoire de savoir comment elles se portaient. Je suis allée voir trois d'entre elles sans leur en parler, histoire de ne pas faire de jalouses et je fus surpris du fait que malgré que tout le hype de l'époque soit partie et que les commanautés des cryptos les donnes pour quasi mortes et bien elles sont toujours là. J'ai visité mes amies DGC DigitalCoin, IFT InfinitCoin et Opale. Mais ici, je ne vous parlerai que de ma première visite.
Je commença donc ma visite en allant du côté de mon amie DGC DigitalCoin, qui est vue son tout premier jour le 20 mai 2013 et de constater que son site web est à la page et toujours bien à jour (http://www.digitalcoin.org) Sur BitCoinTalk la communauté "post" encore et toujours, le dernier "post" a été écrit il y a que 6 jours au moment de la rédaction de ce billet) donc oui le coeur bat toujours pour le DGC (https://bitcointalk.org/index.php?topic=785601.740). Le forum quant à lui tel qu'indiqué sur le site nous renvois à une page "erreur 404" et le dernier "tweet" du compte officiel du DGC (https://twitter.com/DigitalcoinDGC) et en date du 26 janvier 2016, donc maintenant plus d'un an. Mais en même temps, devons-nous y accorder une importance crutiale ? Combien de fois dans les 5 dernières années vous êtes allé vérifier le compte tweeter de la Banque du Canada ou de la Réserve Fédérale Américaine ? Bref ... une monnaie est lancée et tout doit suivre ensuite d'office. Nous la prenons, l'utilisons et lui accordons une confiance transactionnelle, aussi simple que ça.
Donc pourquoi les "altcoins" comme ma vieille amie la DGC tombe t'elle dans l'oublie ? Bon certes, certains dirons que c'est dû au manque de développement (ok ... qu'elle développement a fait l'Euro ou le CAD de manière très officielle récament? et là je ne parle pas de ce qu'elles engendres par le biais de leur utilisation mais bien d'un développement que des "développeurs" du CAD (Canadian Dollar) ou de l'Euro auraient effectués. Donc nous demandons aux cryptomonnaies de toujours se ré-inventer et à la fin, de mourir (sauf pour le dieu suprême le Bitcoin).
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